Notre réponse est sans ambiguïté : OUI !
Dans un contexte de sexualité ouverte et multiple, vous coquinez avec des partenaires différents, qui réagissent différemment aux caresses, aux avances, aux regards. Lorsque vous observerez quelques scènes, vous constaterez de multiples manières d'approcher, d'entreprendre, de faire, de jouir, ...
Le partagisme est une forme "d'éducation socio-sexuelle", par la pratique.
On découvre de nouvelles choses à chaque expérience. On s'affine, on mûrit, on se bonifie, on abandonne les grandes généralités de type :
Plus on libertine et plus on se cerne, mieux on connaît les autres. Leurs envies, leurs peurs, leurs limites, leur histoire, leurs particularités, leurs fantasmes...
Il faut attendre de bien maîtriser un sujet, un sport, un jeu avant d'en tirer un réel plaisir. Rappelez-vous vos premières leçons de conduite : aux aguets de tous les dangers, vous deviez vous concentrer à la fois sur l'embrayage, le frein, les vitesses... c'est quand vos gestes étaient sûrs, rapides et coordonnés que conduire est devenu un plaisir. Disons que le partagisme est un "stage de (bonne) conduite".
La première fois que deux jeunes adolescents font l'amour, ils sont aussi maladroits et inexpérimentés l'un que l'autre.
En matière de sexe, il n'y a point de permis ni de cours. On apprend sur le tas, on évolue timidement, sans trop oser en parler.
Le fait de multiplier les partenaires, de voir, d'être vu, de comparer les techniques et les positions, nous apprend à affiner nos gestes, et, petit à petit, nous permet d’acquérir de l'assurance et une technique sexuelle qui ravira nos partenaires.
C'est mathématique : plus vous acquerrez d'expérience, meilleur vous serez.
Monsieur, vous localiserez les zones érogènes des femmes, plus ou moins nombreuses et intenses. Vous aurez des gestes de plus en plus précis, variés, intenses, rapides et efficaces. Point G, clitoris, anus, nuque, dos : le corps des femmes vous deviendra de plus en plus familier, et deviendrez un amant convoité.
Madame, vous constaterez ce que les hommes aiment vraiment, leurs zones érogènes. Vous apprendrez à sucer, lécher, jouer de votre corps. Vous rendrez vigueur à un homme qui a perdu son érection, sans vous vexer si vous n'y arrivez pas. Vous allez vous bonifier jusqu'à devenir d'incontournables coquines.
Entre "imaginer" et "réaliser" un fantasme, il y a une sacrée marge.
Les fantasmes représentent un monde onirique infini ! On peut fantasmer sur des amis, des célébrités, des lieux (L'ascenseur ?), ou des situations (la panne d'essence ?)
Certains se réaliseront, d'autres pas.
Le partagisme est un fantasme en soi, dont l'excitante particularité est de ... pouvoir aisément se réaliser !
Passons en revue les fantasmes liés au partagisme :
Les pratiques sexuelles adoptées dans le milieu libertin restent assez "classiques". Vous ne verrez pas d'esclaves fouettées sur une table gynécologique, ni de positions acrobatiques dignes de gymnastes russes recyclées en actrices pornos.
Les échangistes sont des gens tout a fait normaux. C'est leur sexualité qui est juste plus ouverte. Ne confondez pas "film X" et "soirée libertine" : Seul le plaisir compte, et laissons les prouesses sexuelles aux professionnel(le)s.
Voici le panorama des pratiques usuelles :
Les caresses (avec les mains) sont la demande d'autorisation d'aller plus loin.
Il s'agira très souvent d'une main masculine sur un corps féminin.
Vous vous occupez de votre chéri et tout à coup, vous sentez une main inconnue qui vous effleure, puis vous caresse, vous touche d'abord des zones corporelles "neutres" : le dos, les hanches... Puis les cuisses, la poitrine, les fesses, le sexe.
Malheureusement, les hommes se montrent souvent trop empressés, et tant que vous ne les éconduisez pas, ils s'aventurent toujours plus intimement. Aussi, si vous êtes dérangée, écartez simplement la main importune d'un geste doux mais net.
Dans le cas ou l'insistance devient lourde, signifiez votre refus de manière verbale, claire et sans ambigüité.
Pour sa part, une femme qui passe ses mains sur quelqu'un ne désire pas forcément toujours en faire plus, mais est simplement excitée à la vue de la situation.
La masturbation est extrêmement pratiquée dans le milieu libertin. C'est un acte un peu plus intime que la simple caresse et le risque d'infection est nul, ou quasiment nul. C'est une manière facile de donner du plaisir.
Madame, Si vous menez ainsi un homme à l'orgasme, il se peut ça lui fasse tomber le désir (période réfractaire). Si le but était ainsi de l'exciter afin d'aller plus loin, vous risquez de vous retrouver face à une verge pendouillante en lieu et place de l'ardeur rigide espérée.
Monsieur, respectez les dames et ne les masturbez pas si vos doigts ne sont pas impeccables. Par exemple, ne passez jamais d'un anus à un vagin sous peine d'infection due aux germes que vous transportez ainsi.
Les femmes n'ont généralement pas le même souci de période réfractaire que les hommes. Si vous arrivez à faire jouir une femme en la masturbant, ça lui donnera sans doute envie de coquiner avec vous plus complètement.
La masturbation a ceci d'excitant qu'elle peut être discrète, sous une table, sous une jupe, l'air de rien... Dans le jacuzzi, les caresses sous l'eau sont extrêmement fréquentes, et constituent une excellente entrée en matière avec un autre couple. Rappelez-vous qu'il est formellement interdit d'éjaculer dans les jacuzzis que l'on trouve dans les saunas libertins pour des questions évidentes d'hygiène.
Ne vous demandez pas si la femme que vous caressez est "clitoridienne" ou "vaginale". La plupart des femmes aiment qu'on leur titille le clitoris, avec le doigts ou la langue, et beaucoup d'entre elles ressentent un grand plaisir, souvent plus diffus, à sentir vos doigts qui la pénètrent plus profondément.
Le point G n'est pas une légende : c'est un point particulièrement sensible, qui se trouve environ à quatre ou cinq centimètres de l'entrée du vagin, vers le haut.
Elle est beaucoup plus intime que la masturbation. Plus question ici de caresser quelqu'un d'autre "l'air de ne pas y toucher"... Il n'y a plus aucune ambiguïté.
Dans l'absolu, on ne devrait pratiquer la fellation qu'avec un préservatif mais, d'une part, le risque de contamination du SIDA par cette voie est extrêmement faible (s'il n'y a pas éjaculation) (Voyez le chapitre IST), et, d'autre part, le goût et la texture du caoutchouc est très déplaisant.
C'est non seulement une question d'hygiène, mais surtout de respect : le goût du sperme est détesté par certaines femmes. Si vous sentez que vous allez jouir, dites-le lui, qu'elle puisse choisir de se retirer.
La fellation est plus répandue que son homologue féminin, le cunnilingus, pour de simples raisons pratiques et morphologique : la fellation peut se pratiquer debout, à genoux, assis, couché, sur la banquette de la voiture, dans la baignoire... Bref : dans de nombreuses positions et circonstances. Un cunnilingus réussi exige un certain confort et se pratique difficilement si l'on n'est pas assis ni couché.
Les échangistes acceptent la pénétration hors couple, mais pas les mélangistes. La fellation et le cunnilingus sont généralement les actes les plus intimes que l'on peut pratiquer avec eux.
Une stricte hygiène consisterait à utiliser un carré de latex pour s'adonner à cette pratique, mais nous n'avons jamais assisté à un cunnilingus protégé de toute notre existence. Le risque de contamination du SIDA est extrêmement faible, comme la fellation, à moins de cumuler règles + gencives qui saignent, mais, le plus souvent, les femmes évitent spontanément de coquiner lorsqu'elles ont leurs menstrues.
Nous parlons ici de la pénétration vaginale au sens strict du terme (pas de sodomie ni de godemichés).
Le préservatif est absolument obligatoire (seule exception : lorsqu'un homme pénètre sa propre compagne).
La levrette a ceci de sympathique que Madame peut sucer un autre homme pendant que vous la prenez ainsi.
Les femmes ne lubrifient pas en permanence. Au besoin, afin d'éviter toute douleur, ainsi qu'une rupture possible du préservatif, utilisez du gel (à disposition près des préservatifs), et, surtout, allez-y doucement !
Oui. La participation à une soirée libertine n'inclut pas de "garantie-orgasme", que vous soyez homme ou femme. Monsieur, essayez de ne pas jouir trop vite afin de rester excité toute la soirée.
Pour les femmes, c'est différent car beaucoup d'entre elles peuvent jouir plusieurs fois en gardant leur désir intact, et même en l'augmentant.
Nous dirions que l'orgasme des hommes est comme un verre d'eau qu'on boit quand on a soif : on le vide d'un trait, et la soif est passée, oubliée.
L'orgasme des femmes est comme un chocolat : A peine a-t-on avalé le premier qu'on en désire un deuxième, puis un autre, et un autre encore...
En très gros, Les hommes peuvent jouir entre zéro et trois fois et les femmes de zéro à trente fois.
Il est donc fréquent que tout le monde ne jouisse pas tout le temps sur commande ! Ne vous formalisez surtout pas !
Lors d'une relation, il peut arriver que personne ne jouisse, ou que seul l'un des deux partenaires jouisse. C'est le jeu !
Vous avez des doigts, une langue, servez-vous en ! Et si rien n'y fait, il n'y a pas mort d'homme.
L'anus peut se faire lécher, pénétrer par un ou plusieurs doigts, voire un godemiché, ou, évidemment un sexe masculin.
Lécher l'anus porte le doux nom d'Anulingus. Si l'hygiène est parfaite, et qu'il n'y a pas de saignements (fissures ou hémorroïdes par exemple), le risque d'infection est nul. C'est une pratique assez peu usitée en contexte libertin.
Grammaticalement, l'anus n'a pas de surnom sympathique... Il manque une désignation érotique pour désigner ce petit orifice... Il y a bien "petit trou", "cul", "par derrière", mais rien de vraiment convaincant.
La sodomie est victime de nombre de tabous. Pour certains hommes, elle peut être rattachée à l'homosexualité, même si c'est une femme qui se propose de les sodomiser avec un gode-ceinture.
Pourtant, Les hommes ont un atout indéniable dans leur fondement : la prostate.
Certaines personnes sont forcément plus réceptives que d'autres, sans même parler du "sujet tabou". Si quelqu'un vous dit qu'il ne ressent rien à cet endroit, ou, pire, que ça lui fait mal, n'insistez pas.
A l'inverse, Madame, si vous proposez à votre partenaire du moment de vous sodomiser, vous ferez certainement un heureux.
Bien que les femmes n'aient pas de prostate, certaines d'entre elles (dont Souri) peuvent jouir par une pénétration anale, pour autant qu'elles y aient été longuement et correctement préparées par des préliminaires adéquats.
Dans certaines cultures, certaines femmes pratiquent la sodomie afin de préserver leur virginité. D'autres n'auront pas l'impression de "tromper" leur mari si leur amant ne les prend que par derrière.
L'anus n'est pas étudié par la nature pour être pénétré, aussi, la première expérience de sodomie peut être douloureuse/traumatisante :
Dans tous les cas, rappelons-nous que Mère Nature n'a pas vraiment prévu la sodomie à son programme. L'anus peut être trop serré pour des pénis trop larges, et il ne lubrifie pas naturellement comme le vagin. Dans les clubs, trouverez du lubrifiant vers les préservatifs, en portions individuelles.
La sodomie peut amener le plaisir et/ou la douleur. Même si ce subtil mélange peut être très agréable, dans tous les cas, il s'agit de se comporter de la manière la plus délicate.
Plus d'information sur le plaisir de la sodomie sur ce site exclusivement destiné à ce sujet, réalisé par une adepte de cette pratique.
Lorsque vous montez dans un manège à sensation, si vous avez l'impression que votre barrière de sécurité est défectueuse, vous éprouverez une vraie peur négative. Si, par contre, vous êtes parfaitement attaché, vous ressentirez ce pourquoi vous avez payé votre place : un délicieux frisson, sans risque. Le SM, c'est cela !
Les amateurs de saut à l'élastique ou de films d'horreurs ne sont-ils pas déjà un peu "masos" ?
Le SM (SadoMasochisme) est un domaine vaste et complexe. Il s'agit de rechercher le plaisir en infligeant/subissant la douleur (physique) et/ou l'humiliation (mentale). Les amateurs de SM se déclinent dont en Maître(sse)s et Soumis(e)s. Le BDSM ajoute la notion de Bondage-Discipline. Le sites "Encordées" parle de cet art de ligoter, immobiliser)
Tout comme le partagisme, le SM est très mal compris, impossible à appréhender pour l'immense majorité de la population.
Expliquer le SM à ceux qui font l'amour une fois par semaine dans le but de faire des enfants est aussi vain que décrire les finesses de la cuisine moléculaire à celui qui fait la queue devant les restos du coeur.
Si on a au moins un petit intérêt pour le SM, on peut se sentir plus ou moins
Dans les faits, voici la fréquence des tendances :
Le SM est au moins aussi tabou que l'homosexualité. Une chape de honte recouvre les instincts SM de bien des gens ! Déplaisante impression d'être anormal(e) ! Et pourtant... Il suffit de chercher BDSM dans Google pour se retrouver face à 39 millions de résultats... De quoi se sentir moins seul(e) !
Le partagisme consiste à élargir sa sexualité (a d'autres), Le SM l'approfondit (en intimité)
Pratiquer le SM ou le partagisme sont deux notions distinctes, et certains couples s'adonnent aux deux.
Dans certains endroits, vous trouverez une croix de St-André (une croix contre le mur, pour s'attacher les pieds et les mains. Pendant que l'on coquine, on peut éventuellement s'aventurer à donner une claque sur les fesses, ou à oser quelques mots très crus, mais le SM en contexte partagiste classique est limité et soft. Si le domaine vous interpelle, vous rencontrerez, tôt ou tard, certains partagistes qui vous en parleront.
Il existe des événements SM, ou les maître(sse)s et leur esclave vont assouvir leurs fantasmes. Il s'agit d'une sorte de sexe de groupe, mais dont le but n'est pas nécessairement de se mélanger. Des soirées SM, se déroulent dans des "donjons" (salles apprêtées pour l'occasion, avec moult accessoires à disposition)
On entend souvent parler de SM dans son aspect le plus spectaculaire : aiguilles plantées dans les seins, coups de cravache, enfermement dans une combinaison de latex suspendue au plafond, urologie, scatologie, viol, etc.
Quittons cet univers extrême !
Le SM "soft" (doux) est, lui, très fréquent, et sujet à bien des fantasmes !
Voici quelques idées :
Madame, votre mari vous impose un bandeau sur les yeux, et vous demande de vous déshabiller... Y aurait-il quelqu'un d'autre dans la pièce ?
Peut-être votre homme va-t-il simplement vous basculer sur le lit, et abuser de vous... Espériez-vous qu'il vous attache, en plus ?
Madame, et si vous ordonniez à votre homme de procéder au rasage intégral de votre petite minette, tout en douceur, ça vous émoustillerait ? ... Monsieur serait peut être ravi de contempler ainsi votre sexe sous cet angle...
Vos mamelons sont sensibles à la caresse... Et si on les pinçait, doucement, puis un peu plus fort, ne s'arrêtant qu'aux premiers gémissements ?
Voici le journal d'un couple SM (maître et soumise)
La visite d'un sex-shop en couple est une expérience érotique en soi ! Affrontez votre timidité, osez demander des renseignements au vendeur ! Cela vous permettra, d'une part, de ne pas acheter n'importe quoi et, d'autre part, de constater que ce n'est pas si difficile que cela de se renseigner auprès du préposé qui est là pour ça.
Essayer ensuite ces nouveaux jouets en couple avant de les proposer aux autres est aussi une étape très excitante : vous vous donnerez du plaisir de manière inédite, voire surprenante.
Même si vous n'avez pas l'idée d'utiliser ces jouets dans l'immédiat, leurs disponibilités émoustilleront à coup sûr la curiosité lors de vos rencontres libertines !
Intérêt garanti ! Lors de soirées privées/semi privées, quelques gadgets érotiques peuvent représenter l'opportunité d'"aller plus loin", un créateur de déclic privilégié (Voir "le déclic : tu veux ou tu veux pas ?")
N'effrayez non plus vos hôtes en dévoilant trop d'accessoires ! Si vous avez tressailli à la simple évocation de ces ustensiles, imaginez que les autres couples peuvent aussi s'en émouvoir plus que de raison, et vous étiqueter un peu rapidement dans la catégorie "couple trop expérimenté"
Les sex-shops (réels ou sur internet) pullulent. On y trouve une quantité invraisemblable de gadgets, qui vont du slip fendu au fouet, en passant par les préservatifs-fantaisie et la ceinture de chasteté... Autant vous le dire tout de suite : les articles des sex-shops sont loin d'être gratuits ! Mais une simple plume peut faire l'effet d'une bombe !
Dans les clubs libertins, on ne trouve pas réellement ce genre d'accessoires. On peut y trouver des "fauteuils gynécologiques", des croix de Saint André, voire éventuellement un fouet sur demande, mais pas beaucoup plus.
Voyez notre sélection de sex-shop ici.
Méfiez vous des fausses bonnes idées. Parmi les fantaisies attirantes mais indigestes, il y a les slips tout en bonbon. Alors que le slip est mangé, c'est l'indigestion qui risque de remplacer l'excitation !
Avant d'acheter quelque chose qui vous semble amusant, essayez de visualiser l'usage que vous allez véritablement en faire.
Afin de ne plus voir le préservatif comme un obstacle mais comme un accessoire de plaisir, ne vous privez pas de vous en procurer de différentes sortes : nervurés, texturés...
"Le Roi de la Capote" est très bien assorti.
Voyez la section "Préservatifs" pour plus de détails.
Le lubrifiant facilite la pénétration de bien des choses. Vous l'utiliserez en cas de sécheresse vaginale, mais également de pénétration anale, qu'il s'agisse de doigt, de sexe ou de godemiché.
Attention aux lubrifiants à base d'eau ! Ils sont faciles à nettoyer, mais sèchent (trop) vite. Préférez les lubrifiants à base de silicone, qui tiennent nettement plus longtemps, mais nécessitent une vraie douche pour s'en débarrasser.
Il existe des lubrifiants aromatisés, mais, personnellement, je trouve qu'une fragrance de fraise ou de banane est quelque peu "hors-sujet" lors d'un acte sexuel.
L'offre est pléthorique ! Vous trouverez toutes les tailles. En Jelly, en plastique, en métal, réalistes ou non, vibrants, tournants, ...
Si vos enfants tombent sur un modèle non-réaliste, c'est moins gênant
Nous vous conseillons de recouvrir le gode d'un préservatif. Cette bonne habitude vous permettra de passer d'une personne à l'autre en remplaçant simplement le préservatif. Comme ces objets sont souvent fabriqués dans des pays ou le contrôle des matières n'est pas forcément strict, vous éviterez une éventuelle réaction allergique.
Pensez aux piles de rechange ! Ce serait dommage de tomber en panne de batterie en pleine action, n'est-ce pas ?
Un plug anal s'apparente à un godemiché, mais s'utilise par derrière. Sa morphologie particulière fait en sorte qu'il reste en place une fois "emboîté". Choisissez-en un de taille modeste !
Il s'agit d'une sorte d'oeuf en plastique, que Madame s'insère. Télécommandable sans fil, c'est en toute discrétion et par surprise que Monsieur lui procurera de délicieux frissons ! Jouir en public, sans que personne ne se doute de quelque chose, ça vous inspire ?
Ne vous inquiétez pas : Il ne s'agit pas ici de vous transformer en maîtres(se) et soumis(e) ! Voyez la section "SM" pour plus de détails.
Les cordes, chaînes et mousquetons se dénichent dans n'importe quel supermarché du bricolage venu, pour quelques modestes euros.
Vous aurez ainsi de quoi immobiliser sur un lit libertins et coquines afin de leur imposer de jouissives caresses. Prenez plaisir à imaginer les endroits de votre lit où se noueront et se croiseront cordes et chaînes. Liens et bandeau pour les yeux s'assortissent merveilleusement lors d'une séance coquine pimentée.
Si vous vous munissez de cordes et chaînes, prenez également des bracelets de cuir pour les poignets et les chevilles (en sex-shop), car les cordes peuvent trop enserrer les poignets, et rendre difficile la circulation du sang. Les chaînes directement attachées aux poignets et aux chevilles font facilement mal ou laissent des marques. Même observation pour les menottes, même recouvertes de fourrure.
Les chaînes sont préférables aux cordes, car elles s'attachent mieux, plus solidement avec des mousquetons. Les cordes peuvent se détacher, ou se détendre, si on n'a pas une solide formation en bondage.
La privation de la vue permet de se concentrer sur nos quatre autre sens.
Vous en trouverez dans les sex-shops, mais également dans certaines pharmacies (bandeaux pour aider à dormir)
A acheter juste avant une soirée coquine, vu son temps de conservation. C'est fou ce qu'elle devient encore plus appétissante lorsqu'on doit la lécher directement sur un corps dénudé !
Un excellent "créateur de déclic" est de jouer à un jeu de société constitué de gages érotiques (se déshabiller, embrasser dans le cou, etc.), car on peut se réfugier à tout moment derrière l'argument :
Le site "jeux pour adultes" se propose de détourner les jeux de société conventionnels pour les adapter à une ambiance érotique.
Le Club des Sens propose également une gamme de jeux érotiques.
Il y a l'embarras du choix. Certains jeux sont exclusivement destinés aux couples dans l'intimité. D'autres proposent des gages trop rapides, ne tenant pas assez en compte la lente progression érotique.
Et pourquoi pas ? Certains vous inspireront plus que d'autres. Gardez à l'esprit que les films pornographiques sont créés par et pour les hommes. La majorité des femmes n'apprécient pas leur visionnage.